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36 degrees, Chris Cunningham (1996) Premier clip du groupe, où on les voit jouer dans un marécage. Le groupe reste la tête sous l’eau tout le long, si ce n’est pour les paroles où Brian réapparaît à la surface. Clip doté d’une esthétique très particulière, mais joliment réussi. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage s’est fait en 2 jours, durant lesquels le groupe a passé un certain nombre d’heure sous l’eau, dont Brian 10 heures. Le clip s’est donc déroulé dans un lac artificiel, une piscine dans laquelle des tests bactériens ont du être effectué avant que le groupe ne patauge, afin d’éviter une quelconque maladie. Ce clip semble avoir été un des plus horribles pour Brian Molko, l’eau ayant été loin d’être à 36 degrés, ses yeux imbibé de chlore étaient tout rouges, sa mâchoire était bloquée par des heures à prendre de l’oxygène dans une bouteille. Brian était très énervé par les moqueries des camera man, et après ceci Placebo s ’est juré de ne plus jamais tourné dans l’eau. Teenage Angst, Trevor Robinson (1996) Dans ce clip, les musiciens sont enfermés dans un cube en latex rouge, et sont tout de rouge vêtus. En parallèle, l’on voit des adolescents qui rentrent au fur et à mesure dans ce cube et qui laissent place à leurs angoisses et à leur folie adolescente. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Lors du tournage, Brian avait une angine, bien que la température extérieure avoisinait les 30°. Le groupe a eu divers histoires durant ce clip, notamment un des adolescents qui a du demander l’autorisation parentale pour se raser le crâne, et la scène avec les ciseaux et la tondeuse qui a faillit être refusé par la police des vidéos. Nancy Boy, Howard Greenhalgh (1996) Surement l’un des clips de Placebo le plus étrange, dans lequel on voit des personnes avec une belle plastique dans des situations étranges (souvent tronqués), avec un maquillage à outrance, des visages déformés, le tout dans un décor particulier, frôlant le psychédélique. L’on voit aussi le groupe interpréter le titre, et eux se retrouvent également trafiqués. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le visage de Steve est floue durant tout le clip, car à l’époque il n’était pas le batteur officiel du groupe, il n’était pas encore signé en tant que tel, de ce fait il n’avait pas le droit d’apparaître dans ce clip. Le groupe a notamment eu des petits soucis avec la police des vidéos qui désapprouvé la prise sur un cul en plastique, mais qui au grand étonnement du groupe n’a pas remarqué la scène de l’éjaculation. Le clip s’est déroulé dans une piscine vide, et le tournage a duré en tout et pour tout une journée. Bruise Pristine, Howard Greenhalgh (1997) Deuxième clip de Howard Greenhalgh, qui nous montre ici toujours un univers bien particulier. Un clip aux apparences SM, dans lequel les acteurs pleins de contusions se livrent à des embrassades et autres intimités. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Dans le clip figure une vache, qui a fait beaucoup de remue ménage lors du tournage. La vache glissait sur le sol et n’arrêtait pas tombé, les végétariens présents sur le tournage étaient relativement traumatisés, tandis que les carnivores comme Placebo regardaient ça sous un œil amusé.
Pure morning, Nick Gordon (1998) Le réalisateur Nick Gordon met en scène Stefan et Steve d’un côté, Brian de l’autre. Pendant que Steve et Stefan sont en bas d’un immeuble, tête sur le capot d’une voiture de police en train de se faire menotter, Brian en haut d’un building se prépare à se jeter dans le vide. Un policier souhaite l’empêcher de tomber, mais sous les yeux ébahis d’une foule de passants et de journalistes, Brian croise les doigts puis saute. Sa chute se fait finalement en douceur, ce dernier se retrouver à marcher sur le mur. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage du clip a duré deux jours, durant lesquels Stefan et Steve se sont grandement ennuyés, puisqu’ils n’ont joué que durant une bonne heure. Pour ce clip un cascadeur a été embauché pour se mettre dans la peau de Molko. Molko qui dit avoir été amusé de voir un sosie de lui même. Le deuxième jour du tournage, qui se déroulé à Londres, Brian tenait une bonne gueule de bois, ce qui l’a aidé à faire une tête de personne torturée pour le clip. Cependant sa journée fût longue, avec 6 heures passées à sauter au bord d’un tapis. You don’t care about us, John Hillcoat (1998) Nos chers Placebo sont donnés en pâture aux requins dans ce clip, sous l’œil amusé de collégiens anglais. Les trois membres sont donnés à manger à ces grands mammifères marins et y sont comparés aux petits poissons qui servent d’appâts. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage s’est déroulé dans un aquarium londonien, dans la nuit afin de ne pas perturber l’ouverture des portes le lendemain. Les membres du groupe n’étaient pas filmés avec les requins dans l’eau, mais dans une eau normale si ce n’est que la température de celle-ci n’atteignait que 16 petits degrés. La nuit a donc été longue, d’autant plus que le tournage a duré 7 heures. Le regret du groupe pour ce clip, et de ne pas avoir fini en pâté et dévoré par les requins à la fin du clip, mais cela n’a pas été possible à cause (encore une fois) de la police des vidéos qui aurait jugé ces images trop choquantes. Every you every me, Matthew Amos (1998) Pour ce clip, pas de scenario particulier, car il s’agit de la vidéo d’un concert tourné à la Brixton Academy. Une vidéo dans laquelle on voit un public dynamique représentatif de celui de Placebo. Ce titre fait également parti de la BO du film Sexe Intentions, sorte de remake à la sauce moderne du célèbre roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : En regardant ce live, Molko s’étonne de deux choses : d’abord de la laideur de sa robe (qui avait pourtant coûté cher) et du fait qu’il soit si statique. C’est selon lui, un élément déclencheur qui l’a par la suite, fait bouger de plus en plus sur scène. Without You I’m Nothing, Russel Thomas (1999) Il s’agit là aussi d’un live, ici au Irving Plaza de New York. Lors de cette nuit mémorable, le groupe interprète avec le grand David Bowie la chanson Without You I’m Nothing. Seule vidéo qu’il existe de ce duo, une petite perle dans l’histoire du rock. Voir la vidéo >>
Brian Molko se trouve dans un hôtel et assiste à une dispute de couple. Puis au fur et à mesure, il se rapproche de plus en plus de ce couple, jusqu’à finir dans leur chambre d’hôtel à tous les deux. Durant la dernière scène, l’on voit Brian allongé sur un lit qui se fait réveiller par deux personnes qui ne sont autres sur Stefan et Steve, comme si on l’avait sorti d’un bon (ou mauvais ?) rêve. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage a eu lieu dans une marie Londonienne, et a duré 22 heures pour Brian, seulement une demi-heure pour Stefan et Steve (qui ont donc eu le temps de visiter de fond en comble cet hôtel !). Slave to the wage, Howard Greenhalgh (2000) Ce clip met en scène une jeune femme (ayant quelques traits de ressemblance avec un certain Brian Molko) qui exécute son travail laborieux et répétitif. La jeune femme semble usée, et tout autour d’elle part en lambeaux comme le papier dans une machine à broyer. Ce vidéoclip est inspiré du seul travail que Brian Molko n’est jamais effectué dans la banque. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage a eu lieu dans l’université d’East London. La voiture qui figure dans le clip provient d’un pays de l’Est avant la chute du mur de Berlin. C’est donc une voiture ancienne de collection, dans laquelle roulaient de grands hommes politiques. Special K, Howard Greenhalgh (2000) Dans ce clip qui n'est pas sans rappeler un célèbre dessin animé expliquant le fonctionnement de la vie, Brian est rapetissé par Stefan dans un laboratoire scientifique futuriste. Ensuite Brian est injecté dans le corps malade de Steve, et se promène dans celui-ci entre globule rouges et globules blancs dans un petit vaisseau. Brian est projeté du vaisseau et heurte quelque chose qui débloque l’artère de Steve. Les personnes présentent dans la salle d’opération commencent à pleurer la mort de Brian, tandis que le robot qu’est Stefan bug, et l’on retrouve finalement Brian sain et sauf sur la rétine de Steve. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : La nacelle que l’on voit au début du clip est en fait le centre e la presse de Lord’s cricket ground à St John’s Wood. Brian dit avoir adoré faire semblant d’être dans un vaisseau spatial, car cela lui a rappelé sa douce et tendre enfance. Black eyed, Vanessa Joop (2001) Le clip met en scène Engel et Joe, deux jeunes gens amoureux qui assistent à un concert de Placebo, et qui s’embrassent sous le regard de Brian Molko. Après ça, les deux personnages cherchent à tout prix à aller en backstage, et essaye de braver la sécurité en escaladant les barrières. A la fin, on voit que finalement ils ont atteint leur but, et se retrouvent à papoter avec le groupe. Black Eyed figure sur la BO du film Engel & Joe. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Les deux punks sont Jana Pallask et Robert Stadlober, deux stars en Allemagne. Le clip a été réalisé en deux shows de Placebo, mais principalement à l’hurricane festival en Allemagne.
The bitter end, Howard Greenhalgh (2003) Un clip très esthétique, dans lequel on voit le groupe jouer sur une parabole. En parallèle on voit deux jeunes gens qui sont perdus et courent (acteurs que l’on voit par caméra thermo guidée). A la fin de ce clip, les deux acteurs se retrouvent, et une sorte d’explosion a lieu sur la parabole. Voir la vidéo >>
Annotation sur le tournage : La parabole était un endroit où Steve avait l’habitude de traîner étant jeune. Le groupe n'a bien sûr pas réellement joué sur la parabole, ils ont tourné en studio et ont été ajoutés sur la parabole grâce à la technologie informatique ! This picture, Howard Greenhlagh (2003) Ce clip met en scène des mannequins qui ont perdu leur identité, les demoiselles ensuite commencent à s’évader de leur panneau publicitaire et se retrouvent toutes dans la rue. Ce clip très esthétique, parle de la perte de l’identité suite à une relation destructrice. En parallèle, l’on voit aussi le groupe interpréter le titre. Voir la vidéo >>
Annotations sur le tournage : Le tournage a eu lieu au parc des expositions en Afrique du Sud. Le clip est très inspiré année 70, d’ailleurs tous les acteurs portent des habites de couturiers, dont le groupe des habits Dior. Ce clip a été tourné entre deux concerts durant la tournée Sleeping with Ghosts. Special needs, Paul Gore (2003) Le groupe joue une nouvelle fois dans une piscine désaffectée, pendant que deux personnes dans les vestiaires font l’amour avec le fantôme de l'autre, avec un souvenir. Un clip une fois de plus dans les tons très bleus qui ne sont pas sans rappeler les couleurs de Sleeping with Ghosts. Voir la vidéo >>
Annotation sur le tournage : Le tournage a duré 6 heures dans le Bushy Campus un dimanche, alors que le groupe avait la gueule de bois. English summer rain, Grégoire Pinard (2004) Vidéoclip realisé par un fan d’Amérique du sud, sans que le groupe ne soit au courant du projet. Il s’agit d’une animation remarquable où les membres du groupe sont de simples marionnettes qui jouent. Voir la vidéo >>
Protège-moi, Gaspard Noé (2004) Protège-moi a été un clip classé X, qui n’a donc pu être mis réellement en vente sur le marché (si ce n’est par le biais des inrockuptibles). Brian a confié la réalisation du clip à Gaspard Noé, après avoir été charmé par le film Irréversible. Le groupe n’apparaît dans le clip que très furtivement au début de la vidéo et à travers une photo d'eux sur un mirroir. Le reste du temps, l’ont voit juste des personnes évoluées dans un appartement, se livrant à diverses pratiques sexuelles, le tout agrémenté de quelques scènes classées X. Voir la vidéo [classeé X ] >>
Placebo assiste à une scène de crique, durant laquelle s’enchaînent, les jongleurs et des danseurs en pleine représentation, le tout sur des couleurs et une ambiance très mélancoliques. Voir la vidéo >>
Because I want you, Russel Thomas (2006) ![]() ![]() Ce clip, sorte d'hommage au public placébien, a été realisé au Koko bar de Londres, dans lequel les figurants sont des fans qui ont été convié au tournage. Tout cela se présente sous forme d’un live devant un public agité, et où, à la fin Brian Molko se tente à un petit bain de foule. Voir la vidéo >>
Song to say goodbye, Philippe André (2006) ![]() ![]() Vidéoclip inspire du film “I am Sam” où l’enfant doit s’occuper de son père malade mental. Ici, il s’agit de la même histoire ou presque, un jeune garçon s’occupe de son père dépressif avant de l’amener dans un hôpital (psychiatrique) loin de tout. Voir la vidéo >>
Infra-Red, Ed Holdsworth (2006) ![]() ![]() Dans ce nouveau clip, Placebo apparaît dans une ésthétique très noir, très cuir, parfaitement soignée où l'on voit une multitude de foumirs intelligentes piratant le système de quelques hommes politiques, apparement malhonnêtes. Le résultat du clip reste néanmoins bien lui de la chanson en elle même ... Voir la vidéo >>
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